Robe fourreau à col bateau en toile légère de coton. Aussi facile à porter en ville qu'à la campagne, elle est réalisée à partir du modèle n°126 du Burda de mai 2013. (Photos Gab)
mercredi 25 septembre 2013
dimanche 22 septembre 2013
Cortège de petites fleurs
Robes de cortège pour les petites filles. Modèle Burda de février 2012, réalisé en 4 tailles (10, 8, 4 et 2 ans). Le tissu choisi est un lin couleur ficelle, pour la ceinture un liberty Meadow prune. Les boutons sont recouverts avec le lin. Les garçons portaient un noeud de cravate dans le même liberty que les ceintures des filles. C'est ma soeur qui les a faits (5 au total). Il me tarde qu'elle nous fasse un petit article sur son blog pour qu'on puisse les voir en détail. (Photos CB, PB et Anna Grinenko)
mercredi 11 septembre 2013
Tenue de fête
Robe réalisée pour le jour du mariage. Faite à partir du modèle n° 126 du Burda de mai 2013, en soie sauvage, couleur céladon, elle est entièrement doublée. Dans les chutes, j'ai confectionné la cravate de Monsieur et le bijou de tête pour compléter la tenue de Madame. (Photos 1 et 3 : Anna Grinenko)
vendredi 6 septembre 2013
Histoire de la robe de ma princesse
Première étape : Octobre, les recherches.
Nous sommes assez vite tombées sur le livre qu'il nous fallait. A part son titre Wedding dress, je ne pourrais pas vous en dire plus, car tout est écrit en japonais. Je n'ai pu compter donc que sur les photos , les schémas et les patrons pour réaliser la robe.
Les désirs de ma petite princesse étaient précis : des manches, un dos en V et une jupe sans plis. Deux modèles comportaient ces éléments, ils nous ont servi de base. Il s'agit du modèle "a" et sa variante le modèle "j" pour le haut et pour le bas le modèle "n".
Deuxième étape : Novembre, un premier prototype
Réalisé dans une pièce de coton pour le corsage et un drap ancien pour la jupe. L'allure générale nous convient : le corsage ajusté par des pinces, des manches raglan, décolleté du dos en V, la jupe à godets (7 pans).
En revanche, le haut nous fait l'effet d'un tee-shirt avec ses manches courtes. Le haut et le bas dans la même matière nous semblent ennuyeux et une envie de dentelle nous prend. Un coupon de dentelle bon marché nous donne une idée de ce que cela peut donner.
Troisième étape : Janvier, un deuxième prototype
A partir des constations faites précédemment, un deuxième prototype du moins pour le corsage qui a subi beaucoup de modifications. Un corsage de dentelle va passer sur la robe, ses manches, toujours raglan, se sont allongées, la manche 3/4 remplace la manche courte. Ce deuxième essayage est concluant quant au modèle, il s'agit maintenant d'ajuster au mieux en vue de ne pas se planter sur les beaux et vrais tissus achetés le mois suivant à Paris.
L'idée d'une "traîne" nous plait assez, enfin une jupe plus longue derrière, pourquoi pas.
Le magasin Tissus Reine dispose d'un rayon spécial robe de mariée et une personne disponible pour nous conseiller. Celle-ci à la vue de la photo du prototype, nous oriente vers un Radzimir de soie pour la robe et de la dentelle de Calais pour le corsage.
Cinquième étape : Avril, confection de la robe
Il m'a fallu un bon mois pour me lancer dans la découpe de ces si beaux tissus. Auparavant il a fallu procéder à un travail qui ne se voit pas et qui pourtant est essentiel, le démontage du prototype, la mise à plat de toutes les pièces et le relevé pour faire le patron définitif et sur mesure de la robe et du corsage.
Pour découper la dentelle, il faut d'abord faire attention de ne pas découper les motifs, il faut aussi marquer les repères de couture pour conserver les bonnes mesures. La solution est de suivre avec une aiguille et un fil de couleur le tracé du patron. Puis toujours pour ne pas abimer les motifs de la dentelle, toutes les coutures ont été faites à la main en suivant les motifs. ainsi les coutures sont invisibles. Cela m'a pris une semaine de travail, à raison de plusieurs heures par jour.
Ensuite la réalisation de la robe est plus classique Le moment stressant a été le premier coup de ciseau dans le Radzimir de soie. La robe est entièrement doublée, le haut avec le même tissu et la jupe avec de l'acétate.
Voilà je ne cache pas ma fierté pour le résultat, il est à la hauteur du soin apporté et à l'amour de ma petite princesse.
Bijou de tête
Avant de raconter l'histoire de la confection de la robe, juste un petit
instant pour montrer le bijou de tête monté sur deux peignes et glissés
sur le haut du chignon de la mariée. Ce bijou de tête accompagne le voile de tulle. Il est composé
de fleurs en tissu de satin polyester ; les bords sont brûlés pour éviter
l'effilochage, ce qui serait impossible avec de la soie. Le cœur des
fleurs est fait de perles montées sur du fil de laiton. Ce bouquet est
ensuite posé sur un nœud de tulle et un motif de dentelle prélevé dans les chutes du corsage de la robe. Un bouquet identique ornait la boutonnière du marié. (Photos CB)
mercredi 4 septembre 2013
Jour de fête
Jour de fête pour ma petite princesse qui a épousé son prince charmant cet été. Occasion pour moi de réaliser mon grand projet, la ROBE. Sa réalisation a pris plusieurs mois entre la recherche, le prototype et la confection proprement dite. Bientôt un nouvel article pour montrer toutes ces étapes.
La robe est un mixte de plusieurs modèles trouvés dans le livre japonais Wedding dress. Les matières utilisées sont de la dentelle de Calais pour le corsage et du Radzimir de soie pour la robe. Sous la robe un jupon baleiné déjà présenté dans un article précédent. (Photos EB et PB)
La robe est un mixte de plusieurs modèles trouvés dans le livre japonais Wedding dress. Les matières utilisées sont de la dentelle de Calais pour le corsage et du Radzimir de soie pour la robe. Sous la robe un jupon baleiné déjà présenté dans un article précédent. (Photos EB et PB)
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