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vendredi 17 septembre 2010

Rien n'a vraiment changé



A cette époque, Constance rêvait de faire de la couture et faute de machine à coudre et de savoir-faire, elle dessinait sur ses cahiers, des robes, des tuniques, des pantalons. Elle les accessoirisait avec des sandalettes à semelles compensées, des sabots suédois ou des bottes "pattes d'ours" et mettait des rubans dans les cheveux de ses personnages.

6 commentaires:

  1. et quand les r^ves se réalisent... Joli dessin qui me parle ! Samantha

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  2. J'adore ce type de trouvaille ... tu l'as retrouvé ce cahier ou tu savais parfaitement qu'il existait ?
    J'ai en double, chez Lagarde et Michard le XVIe et le XIXe siècle. Est ce un de ces deux qu'il te manque ? Par contre, je n'ai pas le XVIIIe ... j'espère le trouver samedi 2 octobre !!!
    Bises
    A demain ???

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  3. J'aime ces dessins naïfs de princesses et de jolies robes. Merci pour ce moment tendre porteur d'espoir de nos rêves d'enfants.

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  4. Oh que c'est attendrissant de voir les rêves d'enfants se réaliser..;)
    Et petit retour en arrière pour moi aussi, je faisais de même (!), depuis la passion de la couture m'a pourtant quittée..!;)
    Joli trait de crayon!!:)
    Bises à bientôt!

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  5. Adorables petits personnages.... C'est bien d'avoir gardé ces pages de cahier !

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